原紗央莉 (Saori Hara)

Saori Hara (aussi connue sous le nom de Mai Nanami est une actrice japonaise née en 1988 d'une mère japonaise et d'un père mi-japonais mi-allemand, ce qui lui donne un air particulier d'une mignonnerie assez exceptionnelle.

Elle commence sa carrière comme "junior Idol"; un concept typiquement japonais de photo sexy avec des mineures en bikini. C'est un concept un peu pervers, mais reste que la petite Saori a 16-17 ans en bikini révélateur, c'est pas moche.

Malheureusement, une chose en entraine une autre, dès les 18 ans atteint, elle sombre dans la porno...

Au travers de sa filmographie un peu crasse, on retrouve cependant quelques films dit "normaux". On peut en espérer plus, elle a récemment affirmée se retirer définitivement de l'industrie adulte. C'est pas moi qui vais m'en plaindre.

Je vais m'attarder ici aux trois seuls d'entre eux que j'ai vu; 深海獣レイゴー (Deep Sea Monster Reigo) - un kaiju boboche -, ファッション·ヘル（ス）(Horny House of Horror // Fashion Hell) - une débilité japonaise comme j'en raffolle même si celle là est décevante - et 隠密くノ一列伝~秘められた女忍び~ (The Secret Female Ninja // Female Ninja Spy // Memoir of a Lady Ninja) - un film de ninja girl sexy, mon préféré des trois.

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深海獣レイゴー (2005) Deep Sea Monster Reigo

Un film de Shinpei Hayashiya avec Isamu Ago, Mickey Curtis et Saori Hara sous le pseudonyme de Chie Kojima

Pendant la deuxième guerre mondiale, le bateau de guerre Yamato est confronté a divers périls dont Reigo, un gigantesque monstre marin.

Saori Hara (qui a alors 17 ans et est connu sous le nom de Mai Nanami) se cache ici sous le pseudonyme de Chie Kojima. Elle n'a qu'un rôle secondaire de jeune écolière mais démontre une certaine énergie dans son interprétation.

Le film, en soi, est plutôt nul. Reigo n'est rien d'autre qu'un clone de Godzilla en CGI avec des nageoires et les interminable scènes de meeting entre officiers - surtout considérant l'absence de sous-titre - ont vite fait de m'endormir.

Je ne le recommande nullement et n'ai pas vraiment l'intention de voir la suite, The Deep-Sea Monster Raiga, sorti en 2009, même si on prétend utiliser, cette fois, un véritable monstre en caoutchouc et non pas des CGI merdiques comme c'est le cas ici.

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ファッション·ヘル（ス）(2010) Horny House of Horror // Fashion Hell

Un film de Jun Tsugita avec Miho Arai, Asami Seguira et Saori Hara

Trois hommes se rendent dans un salon de massages érotique, mais ignorent que celui-ci en est un particulier d'où les clients ne ressortent jamais vivants.

Dans la lignée des débilités japonaises à la mode en ce moment, Horny House of Horror ne se démarque malheureusement pas particulièrement, sinon que par le choix judicieux de ses trois actrices principales - dont, bien sûr, Saori.

Le film est décousu, tourne un peu en rond et n'apporte pas grand-choses que l'on ait pas déjà vu ailleurs.

Sans y aller d'adjectifs grossiers et péjoratifs - ce n'est pas si tant pire et ça se laisse quand même regarder sans peines - ça reste une des entrées la plus banale dans le genre.

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隠密くノ一列伝~秘められた女忍び~ (2009) The Secret Female Ninja // Female Ninja Spy // Memoir of a Lady Ninja

Un film de Jiro Ishikawa avec Saori Hara, Akari Hoshino et Mutsuo Yoshioka.

Au cours d'une mission une femme ninja se retrouve mèlée à une guerre de religion.

Mon préféré des trois films cités dans cet article, The Secret Female Ninja, malgré un essoufflement a mi-parcours et deux ou trois scènes de sexe aussi inutiles que trop longues, est un excellent petit série-B sans prétention qui m'a, d'une certaine façon, rappelé la belle époque des films d'héroic Fantasy.

Saori, si elle manque de réel talents en arts martiaux, se débrouille quand même pas mal en ninja girl dépourvu d'émotion et son mini-kimono lui va à ravir.

Malheureusement, dans The Secret Female Ninja 2, sorti en 2011, Saori Hara est remplacée par une nouvelle actrice...

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Et vous, Saori Hara, vous en pensez quoi?