
Leur première union date de 1985, les Béruriers ayant fait appel à Éric Gorce pour la finale de la chanson Vive le feu.
En 2006, pour leur album Kerne Izel, Gorce et Bévillon rendent la pareille et font appel à l'ex-Béru Loran pour punkifier leur musique, autrement folklorique.
C'est là que l'idée germe et en 2009, Les ramoneurs de menhirs sont nées.
Ils sortent leur premier album, Dañs an Diaoul, en 2007.
Je n'ai pas été, il faut l'admettre, particulièrement impressionné. Nous ne somme plus en 1985, je ne suis plus un jeune rebelle et j'ai compris que la révolution ne se fait pas en scandant les refrains des Bérus dans la rue...
L'évolution musicale de Loran est proche du nul et je ne suis pas trop friand de boîte à rythme.
L'apport musical de Bévillon, Gorce et Jouanno, est loin d'être inintéressant, mais ce qui est ressorti de cet album, pour moi, c'est une sorte de nostalgie bérurière auquel je n'ai pas accroché.

Maintenant que mes oreilles se sont habituées, j'attends un troisième album qui, si la tendance se maintient, devrait être encore meilleur que cet excellent deuxième.
En attendant, j'aurais le plaisir d'aller les voir jouer au Café Chaos de Montréal le 12 avril prochain...
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